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Publié le 08 septembre 2025

Santé mentale : l'affaire de tous

La FEHAP défend 5 priorités

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Après l’activité physique et sportive en 2024, la santé mentale est devenue la Grande cause nationale pour l’année 2025. Dans ce contexte, la FEHAP réaffirme son engagement pour faire de la santé mentale l’affaire de tous et propose 5 priorités concrètes  pour porter collectivement cette ambition sur les territoires. Les voici :

  1. Parler de santé mentale partout, avec tout le monde : il est essentiel de sensibiliser, former et mobiliser tous les acteurs de la société, dès l’école et dans le monde du travail.
  2. Mieux travailler ensemble, sur tout le territoire : la santé mentale ne peut être pensée sans une coordination étroite entre les ministères, les acteurs locaux et les personnes concernées.
  3. Mieux reconnaître l’apport des établissements solidaires spécialisés : les établissements privés non lucratifs doivent être pleinement intégrés aux décisions de santé et traités équitablement.
  4. Aider en priorité les plus fragiles : jeunesse, précarité, grand âge… Il est urgent d’agir tôt et de structurer les parcours pour les plus vulnérables.
  5. Donner un cap politique clair à la psychiatrie : une gouvernance cohérente et interministérielle est indispensable pour une action efficace.

Visionnez le replay de la webconférence consacrée à la santé mentale des adolescents et des jeunes adultes.

Un temps d’échange pour mieux comprendre les fragilités psychiques et identifier les signes précoces.

À travers une présentation à deux voix d’un psychiatre et d’une infirmière en pratique avancée, cette rencontre met en lumière les enjeux du repérage précoce, les facteurs de protection et les perspectives d’accompagnement vers le rétablissement et l’inclusion.

Intervenants

  • Guillaume Legrand, psychiatre, médecin chef au Pôle Rétablissement du CHSM Clermont-Ferrand (AHSM)
  • Cartier Julie, Association Hospitalière Sainte-Marie, IPA (Infirmière en Pratique Avancée) au Pôle Rétablissement du CHSM Clermont-Ferrand (AHSM)

La session se termine par le témoignage d’une psychiatre créatrice de contenus sur les réseaux sociaux, qui utilise ces plateformes pour parler ouvertement et autrement de santé mentale.